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Ce n’est rien. Tout le monde veut donner quelque chose. Vraiment ? Je suis bien content. Les absents de l’autre jour veulent aussi participer. A yens par tête, ça fera . au total. Tu les lui porteras. Pourquoi moi ? Tu habites le plus près de chez lui. Hyotan sera si content. Comment peut-il habiter un quartier pareil ? C’est le destin. Moi aussi j’ai du mal à le croire. Ne recommence pas. Je veux vous payer. Merci beaucoup. Bonsoir. Merci encore. Ça vous a fait faire un grand détour. Je n’habite pas très loin. Votre père est là ? Oui… Je vous l’appelle… Papa ! Hirayama, entrez donc ! Asseyez-vous, je vous prie. Que faites-vous là ? Merci pour l’autre soir. Vous m’avez offert un vrai banquet. J’étais si content, un peu rond… J’ai dû dire des bêtises. Ma fille m’a grondé le lendemain. Je vous présente mes excuses. C’est à nous de nous excuser. J’ai été content de vous revoir tous, après ans. Sers-nous du saké. Ou de la bière… Que préférez-vous ? Je vous en prie, ne vous dérangez pas. Apporte à boire. Mademoiselle, je n’ai envie de rien. Nous n’avons pas grand-chose à vous offrir. On ne trouve rien dans ce quartier qui convienne à vos goûts. Ne vous inquiétez pas pour moi. Je pourrais préparer quelque chose. Ne vous en faites pas. Monsieur… Mes amis m’ont demandé de vous déposer ceci. Quoi donc ? On a pensé acheter un cadeau… Je vous remercie, mais je ne peux accepter. Mais si, voyons. Ce n’est pas grand-chose. Pas question ! Vous m’avez déjà fait l’honneur de m’inviter. Vous désirez ? Une nouille sauce. Tout de suite. Je dois partir. A la prochaine ! Je suis vraiment désolé. A très bientôt. Capitaine… C’est vous ? Pardon… Je ne vois pas qui… Je suis Sakamoto. Je faisais partie de l’équipage de l’Asakazé. Je me souviens maintenant ! Monsieur Sakamoto… Vous savez, patron, il était capitaine de notre bateau. C’est vrai ? Je me souviens qu’Hirayama est entré à l’Académie Navale. Ça fait si longtemps. Capitaine, prenez un verre avec moi. Annulez ma nouille sauce, patron. C’est trop moche ici. Allons ailleurs, on sera mieux. Vous paraissez en pleine forme. Ça va, Dieu merci. Je tiens un garage tout près. Je vais vous le montrer. Vous êtes d’accord ? Passons-y un petit instant. Patron, on s’en va tout de suite. Merci. A la prochaine. Capitaine, comment le Japon a pu perdre la guerre ? Ça a été très dur pour moi. Quand je suis rentré, je n’avais plus de maison, rien à manger… Pas un sou ! J’ai emprunté à mon beau-père pour monter mon garage. Ça marche bien maintenant. La petite qu’on a vue, c’est votre seule fille ? Non, j’en ai une autre plus âgée. Elle est déjà mariée. Je vais être grand-père d’un jour à l’autre. On tient le coup. Ça a dû mieux se passer pour vous. J’ai souffert, moi aussi. Un ami m’a aidé à trouver du travail. Qu’est-ce qui se serait passé si le Japon avait gagné ? Apportez-nous une bouteille entière. On serait tous les deux à New York si on avait gagné la guerre. Pas dans ce bistrot, dans un vrai bar américain. Depuis la défaite, les jeunes n’écoutent que de la musique américaine.



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