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Flèche vers le bas: Coup

Un vrai chauffard. Vous êtes allé le chercher hier ? Je le devais mais… Non. Mais je l’ai ramené chez lui. Comment est-il arrivé ici ? Je ne sais pas. Je suis restée évanouie minutes ? A peu près. Il semblait être là. Je n’y avais pas pensé. Il a dîné ici ? Non. Et dans ce cas vous auriez dû aller le chercher. Oui, c’est drôle. Je ne comprends pas ce qui se passe. Une minute je crois avoir tout imaginé, et la suivante je n’en suis plus si’ sûre. Même après avoir parlé à mon père, je n’en suis pas sûre. Ce n’était pas lui ? Je ne lui ai pas parlé depuis ans. Etait-ce lui ? Pourquoi pas ? Je ne sais pas. Je n’en sais rien. Je vais vous dire une chose. Vous avez parlé d’une bougie au pavillon d’été. On a répondu : “C’est absurde puisqu’il y a l’électricité ici”. Qu’est-ce que c’est ? Je l’ai gratté du plancher quand Mme Appleby vous a ramenée. Des traces de bougie. Non, merci. Vous n’avez rien mangé, Penny. Je n’ai pas faim. Vous devriez essayer de manger un peu. Vous êtes épuisée. Pourquoi dites-vous ça ? Une personne relativement saine n’aurait pas eu l’expérience d’hier. Vous devriez être plus prudente. Moi ? Votre père a dit que vous aviez une imagination hyperactive. Vous étiez effrayée par votre propre ombre. Il y a eu votre accident, ce séjour à l’hôpital. Il n’est pas étonnant que votre esprit soit un peu troublé. Soyez très prudente. Des chocs comme celui d’hier aux causes réelles ou imaginaires, peuvent sérieusement affecter votre esprit, et cela de façon permanente. Je deviendrais folle ? Je n’entends rien d’aussi dramatique. Qu’entendez-vous par là ? C’est que si l’imagination se met à vagabonder, il faut la faire revenir à la réalité avant… Avant que cela devienne permanent, Dr Gerrard. Pierre voulait… Il dit que je dois faire attention ou je deviendrai folle et on devra m’interner. Mlle Penny. Pouvez-vous me descendre la clé ? C’est Mme Appleby qui l’a. Elle était sur le rebord. Oui, mais elle me l’a demandée. Pourquoi ? Navré. Je l’ignore. Cette bougie dont vous parliez… Je n’aurais pas dû. Ça ne nous apprend rien. Ça prouve ce que je disais. Qu’une bougie y a brûlé, il y a peut-être des mois. Personne n’y va. Je l’ai vue la nuit dernière. Oui, Mlle. Vous l’avez dit. Vous ne me croyez pas non plus ? Je crois que vous pensez avoir vu quelque chose. Le Dr Gerrard et Jane. Et vous, à présent. Je voudrais vous aider. Mais je ne vois pas comment. Robert ? Je suis prête, Robert. Amenez la voiture devant la maison. Vous ne voulez pas venir, ma chérie ? Ça vous ferait du bien, vous donnerait des couleurs. Non, merci. Que désirez-vous de Cannes ? Rien. D’accord. Je serai de retour tôt ce soir. Entrez. S’il n’y a rien d’autre, mademoiselle, j’aimerais rentrer chez moi. Mme Appleby est de retour ? Non. Robert m’a dit qu’elle fait des courses à Cannes. Ils seront de retour dans une demi-heure peut-être. C’est bien. Merci. Bonne nuit, Marie. Bob ? Est-ce vous ? Papa ? Amenez tout ici, Robert. Chérie, si vous m’aviez dit que vous iriez dans le salon, Marie aurait pu faire un feu. Jane, qui joue du piano ? Votre père. Personne d’autre ici n’en joue. Il le ferme à clé. Il n’aime pas que les gens y touchent. Ça abîmerait le son. Comment est la petite auto ? Comment ça, chérie ? La petite auto que papa a prise. Une Simca blanche. Il est là. Elle est au garage. Mlle Penny, je viens de… Ce sera tout. Merci, Robert. Vous pouvez partir. J’ai vu l’auto dans le garage. On en vient. Il n’y a pas d’auto. Mais je l’ai vue. J’y étais. Mais c’est impossible. Sinon… Laissez-moi tranquille. Il n’y avait pas d’auto. Une petite auto de sport blanche. Comment auras-je pu le savoir sans l’avoir vue ? Je vous l’ai dit dans le salon. Mais je l’ai vue. Elle y était. Je l’ai entendue arriver. Et quelqu’un a joué du piano. Il est fermé à clé. Et il n’y avait personne. Mais quelqu’un jouait de ce piano. Je sais que ce n’est pas logique, mais… Le garage. Oui, madame. Elle est ici. Oui, je le lui dirai. Mme Appleby vous informe que le dîner sera prêt dans une demi-heure. Ne vous en faites pas. Il doit y avoir une explication à tout ça. On va essayer de la trouver ensemble. Merci. Bonne nuit, Bob. Bonne nuit, Mlle Penny. Bob ! Il était là. Penny ? Ma chambre. Qu’y a-t-il ? Pourquoi tout ce bruit ? Mlle Penny criait qu’il y avait une chose dans sa chambre. Pauvre petite. Où est-elle ? Je suis ici. Que s’est-il passé ? Qui vous a effrayée ? Pardon. J’ai cru avoir vu une chose. Mais quoi ? Qu’avez-vous vu ? Il semble que je fasse beaucoup d’histoires pour rien. Mon imagination encore. Vous m’avez flanqué une peur bleue. Vous êtes bien, à présent ? Ça ne se reproduira pas. Je l’espère. Votre pauvre esprit ne supportera plus ces chocs. Je vous amène le dîner ici ? Ça vous dirait ? Je vais bien à présent. Bien. Je me suis permise d’inviter le Dr Gerrard à dîner. Pourquoi ? Je peux annuler, si vous préférez. Pas à cause de moi. Ce sera tout. Merci, Robert. Bonne nuit, madame. Mlle Penny. Bonne nuit. Pardon d’avoir… Pas du tout. Penny, vous allez bien ? Je suis bien assez contrite. N’empirez pas les choses. Non, sans doute. Alors, on se verra dans minutes.



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