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vite il va couler. San De. Présent. Jette cette assiette avec force. Ton assiette a coulé. Comme les morceaux de bois sur lesquels vous sautez. Mon assiette associe force, stabilité et vitesse. La force donne au pas la rapidité. La stabilité, c’est l’équilibre. Si esprit et cœur sont Un, la force en découle. Ceci est la clé du kung-fu. Force, stabilité et vitesse. Force, stabilité et vitesse, tout se tient. Frère superviseur jeux Va ! Je vous supplie de m’enseigner. Dans la ème chambre, on travaille la force des bras. Le poing, la paume, le sabre, l’épée, le bâton, la lance, tous dépendent de la force du bras. C’est la base de l’entraînement. Tu dois porter ces seaux d’eau là-haut. Et verser l’eau afin qu’elle coule sans discontinuer. Et n’oublie pas. Les bras doivent toujours rester tendus. En faisant ceci quotidiennement, les bras gagnent en force. Va. Il ne t’a fallu que quelques mois pour réussir. San De ! Tu ne dois pas aider tes frères. Sinon, ils ne progresseront jamais. À vos ordres. Tu as enfreint notre règle. Descends ! Frère superviseur jeux Descends jusqu’à la ème chambre. Merci frère. Ma chambre est plus facile. Il te suffit d’écouter quand je frappe. À chaque coup, tu frappes la cloche avec le marteau de fer. Je veux apprendre les arts martiaux, je ne veux pas jeux Ne méprise pas ces bâtons de bambous. Zhi Hui. Oui. Le marteau ne pèse que dix livres lorsque le bâton mesure un pied. Mais étant donné que le bâton mesure pieds, le marteau pèse livres. Combien de pieds ton poignet pourra-t-il maîtriser ? Je veux bien essayer. Cela fait dix pieds, encore deux pieds. Commence. Continue. Mes respects, frère supérieur. Tu as déjà quitté la chambre du poignet ? Oui. Le frère superviseur m’a permis de partir. Très bien. Tu t’entraînes avec sincérité et application. Je te dispense désormais des tâches ménagères. Je te charge de la bibliothèque. Merci frère supérieur. Frère supérieur. À mon avis, San De a un singulier dessein. Il diffère des autres disciples. Cela est difficile à dire. Le monastère est paisible, comme toujours. Mais à l’extérieur, les éléments sont déchaînés. L’on peut avoir besoin de quelqu’un comme lui. Je vous prie de me guider. Place-toi entre ces bâtons d’encens qui se consument. Les adeptes des arts martiaux doivent avoir l’œil vif et agile. Fixe des yeux la flamme de la bougie. Lorsqu’elle oscille, tes pupilles doivent la suivre. Mais n’oublie surtout pas que ta tête doit rester immobile. Commence. J’ai dit que la tête ne devait pas accompagner les pupilles. Recommence. C’est ça. Même s’il n’y a plus de flamme, tu dois rester concentré. Quand le regard est limpide, les mains et les pieds doivent être agiles. La main doit suivre l’œil de près. Retourne-toi. San De, tu dois frapper le poteau qui réfléchit le rayon. Je dirige cette chambre depuis six ans. Tu es le plus remarquable. Merci de m’avoir instruit. FORCE DE LA TÊTE Continuez ! Ne te baisse pas ! Tiens-toi droit. Frappe les sacs de toute ta force puis offre de l’encens au bouddha. Recommence. Debout ! Frère superviseur, je jeux Tu t’évanouis déjà ? Relève-toi ! Reprends l’entraînement. Frère superviseur. Sans ce rude entraînement de deux années, tu n’aurais jamais pu faire un pas dans cette allée. San De, la tête est le plus important. C’est le dernier travail de la force. Si tu réussis cet exercice, tu pourras commencer à t’entraîner aux armes. Va offrir l’encens. Plus fort, allez ! Frappe plus fort. Debout. Relève-toi. Debout ! En deux ans et un mois, tu as réussi les dix chambres de base du kung-fu qui font partie des chambres. Ce fait est sans précédent dans notre monastère. C’est grâce aux frères superviseurs. Désormais, tu peux pratiquer la technique de ton choix : boxe, sabre, bâton, ou autres armes. Responsable de la discipline, je nomme San De, second de la Maison de Dharma. Présente-toi aux deux premiers abbés. Arrêtez. Continuez ! San De. CHAMBRE DES JAMBES Frère superviseur. San De, c’est pas mal. CHAMBRE DU SABRE Pivotez plus rapidement. Pas mal. San De. En cinq brèves années, tu es parvenu à maîtriser les chambres. Ta volonté est digne d’éloge. Je te nomme aujourd’hui responsable en second de la chambre de ton choix parmi les chambres. Frère supérieur, en cinq ans, San De a été promu huit fois. Son grade est assez élevé. Vu sa technique, il est capable d’être responsable en second. Frère supérieur, nous devons être sûrs de ne pas agir inconsidérément. Alors, d’après toi jeux Si, avec l’arme de son choix, il domine mes sabres jumeaux, j’accepte qu’on lui confie n’importe quelle chambre. Tu as entendu ? Le responsable de la discipline veut jouter avec toi. Qu’en penses-tu ? Je ne me permettrais pas. Puisque je te le propose. Il te suffit de prendre le dessus et tu auras la chambre de ton choix. Je vous prie de m’instruire. En garde. Je vous remercie. J’ai perdu. Reviens me défier quand tu veux. Je t’ai touché combien de fois ? Dix-sept fois. Si j’avais utilisé le tranchant, que serais-tu devenu ? Je vous remercie de votre leçon. Je m’entraînerai encore. Il aura du mal à passer l’épreuve des sabres jumeaux. Ce n’est pas sûr. Quelle est cette arme ? Le bâton à double articulation, une invention à lui. Bien. Cette figure est pas mal. Continue. Vous n’avez rien ? San De, j’ai toujours mes sabres. Veuillez m’excuser. Frère supérieur. San De est digne d’être responsable. Parmi les chambres de Shaolin, hormis la chambre suprême, pour laquelle ta connaissance des lois bouddhiques est insuffisante, choisis celle que tu veux. Frère supérieur. Je ne sais pas encore. Je t’accorde jours de réflexion. Merci frère supérieur. Il n’existe pas de ème chambre. Je le sais. Mais je voudrais la créer. Et cette chambre serait jeux Shaolin représente la quintessence des arts martiaux. Dommage de les confiner ici. Il faudrait les diffuser dans le monde entier. La ème chambre se vouerait au recrutement de laïcs prometteurs pour en faire des adeptes. Shaolin ne se mêle pas des affaires du monde. Recruter des laïcs ne s’est jamais fait. Je désapprouve. Cela concerne la perpétuation de nos arts martiaux. Je voudrais recruter et instruire les jeunes de talent.



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