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à faire des compromis. Toujours avec l’espoir, qu’un jour… Je gagnerais tout seul. Combien de temps a duré la crise de Mme Stevenson? Elle s’est remise très rapidement. Pendant un temps, tout est allé très bien. J’ai obtenu un nouveau bureau ainsi qu’un nouveau titre. Mais cette amélioration n’a duré que très peu de temps. A t’elle eu d’autres attaques? Oui, plusieurs. Je me souviens en particulier d’un jour. Environ un an plus tard. J’avais eu une idée… qui pouvait arranger la situation. C’est de suite, à gauche… Puis-je ouvrir? J’ai la clef. Bien, Monsieur. Par ici Leona. Henry, ne serait-ce pas le moment… …de m’expliquer quel est ce secret? Laisse -moi juste te le montrer. Un moment. Si c’est un autre appartement, Je n’en veux pas. Mais tu ne l’as même pas encore vu, Il est vraiment magnifique. Il possède une terrasse sur tout son pourtour, un séjour immense et un bar privé. Je t’ai déjà dit mille fois que nous n’avions pas besoin d’un appartement. Je ne cherche pas un appartement Leona. Ce que je veux c’est un foyer, notre propre foyer. Nous ne pouvons pas continuer à vivre avec ton père pour la vie entière. Je ne vois pas pourquoi. Il y a de la place, c’est confortable et j’aime bien cet endroit. De plus, qui va payer pour cette petite folie? Bien, éventuellement je vais m’en charger.. Eventuellement? Pour l’instant, c’est mon argent. Je suis celle qui le paiera. Tu es si naïf, comme un gamin avec un sac de bonbons. Je ne veux pas dépenser mon argent pour te payer toutes les choses que tu as l’occasion de voir. Il y a des limites. Indubitablement, il y a des limites. Je suis supposé te suivre comme un chien en laisse. Et aimer les boulettes que tu me lances. Ne soit pas ridicule. Tu m’as rendu esclave… en échange de trois repas par jour et un peu d’argent de poche. C’est pour cela que tu t’es marié avec moi. Pour mon argent. Si j’avais su… Arrête, Leona. Ne nous disputons pas, s’il te plaît, écoute-moi. -Tu me détestes, tu en as marre de moi. Tout ce que tu veux c’est partir. Oui, j’en ai marre .. vraiment marre Qui n’en aurait pas assez… de cette routine que tu m’as concocté? Que puis-je faire, sinon continuer à courir de long en large… entre ce bureau pourri et ta maison qui sent le renfermé? Qu’est-ce que j’ai? Rien… rien à moi. Même pas les boutons de manchette de ma chemise ou les allumettes qui sont dans mes poches. Henry, tu ne peux pas me dire cela. Rappelle-toi… tu m’as dit une fois que j’aimerais cette vie. Veux-tu savoir? Je l’aime plus que tu ne le croiras jamais. Mais je veux être mon propre patron et en profiter à chaque instant. Ne pas être juste un subalterne, tu comprends? Henry, vas me chercher un peu d’eau. Ce n’est pas que je veuille te quitter. Je pourrais encore t’aimer, si tu essayais de comprendre. Je me sens mal. J’ai appris à mieux la connaitre, après un certain temps. Je me suis contenu, le mieux que j’ai pu sur beaucoup de choses. Mais même après celà quoique j’ai fait du mieux que je pouvais… Les crises étaient plus violentes et plus fréquentes à chaque fois. Quelquefois une chose sans importance la mettait à plat.



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