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T’as perdu la tête ? Tu m’as fait confiance ! Pauvre Bill, je croyais que ce serait plus drôle. Nous devons nous occuper du e membre de la bande. L’homme est rusé. Roll vous a dit son nom ? Joe Merci. Comment ? Joe Merci. Quel nom ! Envoyez vos hommes à sa recherche. Mais où ? Roll dit qu’il est insaisissable. Il est ici, il est là, devant, derrière, comme une anguille. Où chercher ? Ça, c’est votre problème. Trouvez-le. Débrouillez-vous. A vos ordres. Amenez-le immédiatement. Qui êtes-vous ? Que faites-vous ? Que voulez-vous ? Un nid, avec un œuf pas plus grand que ça. Un petit œuf vert parsemé de taches brunes, comme une bouse de bison. Un bébé busard pique avec son bec : tic, tic. Il avance son petit cou maigre, il secoue ses petites ailes. Maintenant, maman busard vient atterrir près de son fils, avec un bon lambeau de charogne gras. Dans le désert, le soleil monte au cerveau. Chut ! Dans le ciel bleu, tout là-haut, papa busard, déployant ses ailes, surveille son bébé pendant qu’il mastique la chair molle et pourrie. Et soudain : boum ! Le tonnerre éclate, faisant voler la roche en éclats ! Le nuage de poussière mortelle monte, obscurcissant le ciel. Et papa busard pleure sa famille assassinée. Il pleure la mort de sa compagne, de son bébé. Empêchez-les de tuer ce qui vit ! Qui ? Les hommes du chemin de fer. Ils font sauter la montagne. Et boum ! Tout est détruit : les papas, les mamans, les petits. Et ils me rendent la vie infernale. J’habite une grotte dans la falaise. Arrêtez-les. Foutez le camp. Je me suis trompé ? On dit que vous protégez les busards. Je leur donne à manger la chair des farceurs. Foutez-moi le camp ! Attendez. Un instant. Vous habitez où, déjà ? Sous la falaise du Diable. Avez-vous parlé à quelqu’un… Avez-vous mentionné votre intérêt pour les busards à un autre ? Ah non, seulement à vous. Vous avez très bien fait. Gardes ! C’est tous des radins ! Y a pas une allumette, ici ! Ils me tueront ! Il a dit qu’il s’occuperait de ma fleur. Ça t’apprendra à suivre ce polichinelle, car il a les yeux bleus. Joe n’a rien à voir là-dedans. C’est Jelly Roll qui t’a doublé. Tu continues à défendre ce salopard ? Pourquoi ? Dis-le-moi ! Non ! Je le défends parce que je suis fidèle en amitié. Je peux toujours compter sur Joe. Ah oui ? Si tu crois qu’il va payer pour ta petite personne, il est trop tard. Dis ce que tu veux, mais le seul homme que je regretterai, c’est Joe. Moi aussi ! A cause des dollars ! Il pense toujours au moindre petit détail, le soi-disant génie ! Si je l’avais sous la main, là, je lui avalerais la tête ! Tu y laisserais ton dentier ! Oh, Joe ! Lucy ! Oh, Joe ! Tiens, tiens. Tu ne serais pas comme nous, l’invité du commandant ? Exact. Si tu savais combien je m’en réjouis ! La situation devient plaisante. Nous aurons la joie d’être pendus ensemble. C’est vrai, Joe ? Les Indiens sont pessimistes. Tout marche comme prévu. Oh, tu crois ? Comme au billard : la boule rebondit sur la bande, touche une autre, l’envoie sur la rouge. Où allez-vous ? On rentre chez nous. On ne travaillera plus sur une voie qui ne sait pas où elle va.



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